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Accès à l’information

L’ère technologique dans laquelle nous évoluons en est une marquée par la quantité d’informations impressionnante à laquelle nous avons accès. L’expression « drinking from a hose » est représentative puisque nous sommes plus que comblés en terme de quantité d’information disponible.

Il y a bien sûr deux côtés à la médaille puisque cette abondance d’information implique toutefois un travail considérable afin d’en extirper la portion qui s’avère pertinente à notre véritable recherche.

La fouille de textes, ou text mining selon Wiki, est l’action de rechercher du contenu intéressant à travers une quantité d’informations non structurées, comme le texte apparaissant sur un page Web. Cette extraction de connaissances fait partie du domaine de l’intelligence artificielle. Certains algorithmes très puissants permettent de balayer le Web en des temps record et permettent ainsi à l’humain de lui générer des résultats que lui-même n’aurait peut-être pas pu obtenir en l’espace d’une vie entière de recherche…

Si seulement tout le texte disponible était bel et bien pertinent, ce serait déjà plus facile. Hélas, quoique les moteurs de recherche soient rendus très puissants, ceux-ci peuvent être redirigés vers des liens dont la pertinence est douteuse. Certains individus ont même la passion ou un gagne-pain relié à la mission de détourner la recherche vers de fausses pages intéressantes. Cette compétition ajoute de nombreux résultats de recherche inutiles au nombre déjà assez phénoménal que nous génère notre fameux Google.

De nombreuses informations résident dans la long trail. Je persiste à croire que ce phénomène est très présent aussi dans les résultats de Google et que cela aura tendance à s’accentuer. Voici un graphique symbolisant l’importance du rang généré par Google :

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Tandis que la quantité de stockage sera quasiment infinie dans dix ans, il en est tout autrement pour le temps d’accès et la vitesse de lecture. On peut poser l’hypothèse qu’il sera de plus en plus difficile voire impossible de générer des résultats de recherche assurément pertinents. Il faudra peut-être se munir de nouveaux moteurs de recherche offrant des services plus efficaces mais désormais payants.

Cette situation poserait un grave problème en technologie de l’information puisqu’il ne serait plus possible d’accéder aussi facilement à une multitude d’informations par le biais d’Internet. Il est tellement rendu normal de vivre cette facilité d’accès à du contenu de qualité via Internet que l’on pourrait avoir de la difficulté à s’adapter. Prenons par exemple le projet Gutenberg et d’autres services comme Wikipédia offrant de l’information gratuite aux gens.

D’autant plus que certains pays plus démunis en viendront à accroître leur nombre d’internautes. Il faut donc réfléchir à tous ceux qui auront bientôt accès à Internet et qui prendront goût à partager des données via des blogues, forums, etc. Ils participeront eux aussi à alimenter ces gigantesques sources de données évoluant sur le Web. Il est intéressant de songer à la possibilité d’accéder à un tel partage mondial effervescent et à telle une diffusion de l’information mais encore faut-il parvenir à trouver ce que l’on cherche.

Étant donné que la quantité de stockage sera presque infinie, le nombre de serveurs remplis d’informations se multiplieront aussi. Il en va autrement du temps d’accès à toute cette mer de données. Le temps d’accès et de lecture n’augmentera pas au même rythme exponentiel que l’espace pour stocker ces mêmes données. Il sera donc encore plus long et fastidieux de balayer toute cette montagne d’informations.

Il sera non seulement dur de s’adapter aux efforts supplémentaires pour dénicher de l’information de qualité mais il y aura aussi d’autres répercussions. La compétition deviendra probablement encore plus tenace entre les différents concepteurs de moteurs de recherche. Il y a déjà beaucoup de controverse sur les méthodes employées par les différents engins de recherche Web et il est possible que cela s’accentue.

Une autre des conséquences majeures sera que les compagnies devront débourser davantage d’argent pour entretenir le référencement de leur site web. Toute compagnie désirant avoir un minimum de visibilité sur le Web doit s’attarder à sa position dans les résultats des moteurs de recherche. Certaines d’entre elles déboursent des montants d’argent ahurissants pour être classées dans les premiers rangs alors osez imaginer dans quelques années… ou osez imaginer l’accès à ces services se restreignant davantage pour les petites et moyennes entreprises…

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Impact du Web social en éducation

Je crois qu’un des impacts majeurs dans l’éducation sera en lien direct avec l’ouverture à la collaboration. Je veux insinuer par là que la vision de l’apprentissage dans son entier sera remodelée. Dans le présent essai, la façon dont j’argumente à ce sujet se base sur différents axes : la nouvelle signification du terme apprendre, les tendances actuelles au niveau éducationnel et l’extrapolation de ces tendances à court, moyen et long terme.

La nouvelle signification du terme apprendre

Jadis, la seule structure de communication, acceptable en salle de classe, était celle de l’enseignant qui détenait tous les savoirs. Celui-ci avait comme mandat de déverser tout son savoir à l’étudiant, qui devait s’en imprégner sans avoir le moindre doute que c’était l’ultime vérité. Il en est autrement aujourd’hui avec les générations d’apprenants natifs. Ceux-ci sont conscients que plusieurs vérités, différentes de celles de l’enseignant, peuvent être atteintes en deux ou trois clics sur Internet. Marc Prensky illustre bien cette réalité dans son article ‘Une école pour les natifs de l’ère numérique’ :

« Alors que la réforme scolaire est toujours remise en question, comment convaincre l’école et le monde du travail que ces outils technologiques sont un complément aux outils que nous connaissons et utilisons depuis toujours, bref, davantage une occasion plutôt qu’une menace? Comment adapter l’école afin que les enseignants puissent prendre conscience qu’ils ne sont plus les dépositaires uniques de la connaissance, que les changements se produisent à une vitesse si accélérée qu’ils doivent aussi avoir l’humilité d’accepter que les jeunes soient à leur tour des passeurs de connaissance? Tout un défi. »

Deux différentes visions de la pédagogie évoluent présentement. Il s’agit de la vision qui prône l’acquisition de connaissances, soit celle qui permet de les accumuler à preuve de diplômes obtenus. Il y a aussi la vision qui opte pour donner les outils à l’apprenant pour lui permettre d’apprendre par lui-même.Les notes de cours du module 8 nous présente d’ailleurs deux significations actuelles du terme apprendre : « apprendre des connaissances » ou « apprendre à apprendre ».

Le terme natif est de plus en plus utilisé et désigne une personne étant née après de gros apports technologiques ayant changé les façons de communiquer. À l’opposé, les immigrants sont nés avant la mise en vigueur de tels changements et doivent donc effectuer un travail considérable pour s’y adapter. Certaines réticences y sont inévitablement reliées puisque ces personnes doivent sortir de leur zone de confort et tenter d’avoir l’air aussi à l’aise que les natifs!

Étant donné que le professeur n’est plus le seul et unique transmetteur de savoir, il faudra premièrement qu’il admette que ses étudiants auront accès à plusieurs sources de référence. L’enseignant sera probablement considéré comme une référence mais les étudiants auront tendance à vérifier la validité de ses dires à l’aide d’autres sources de référence. Il est possible que certaines informations ne concordent pas. C’est à ce moment précis que l’ouverture à la collaboration de l’enseignant devra être accentuée.

D’après moi, deux possibilités peuvent survenir: soit l’enseignant réfute, sans aucune vérification, ce que l’étudiant soulignera comme non-concordance soit il la traite de façon à outiller l’élève face à un tel dilemme. De nos jours, le Web social nous offre l’accessibilité à une panoplie de sources d’informations sur le Web. Quoique ces sources peuvent être placées en tête de liste par un moteur de recherche, il n’est pas absolument certain que celle-ci est fiable.

De nos jours, les besoins des étudiants sont axés sur la rapidité d’acquisition des informations. Leur attention est tournée vers le nouvel outil de recherche le plus puissant, rapide et efficace. Le rôle des étudiants changent et se rapprochent de celui des enseignants. La collaboration doit être entreprise si l’on désire perpétuer l’utilité primordiale des institutions d’enseignement, c’est-à-dire outiller l’étudiant à la réalité qu’il rencontrera sur le marché du travail.

À ce stade, on peut observer plusieurs tendances en pleine ébullition dans le milieu éducationnel. Entre autres, l’autoapprentissage, la formation à distance et la formation continue.

L’autoapprentissage ou autoformation

L’autoapprentissage sur Internet est devenue monnaie courante. La lecture de textes contenant de l’information est d’ailleurs ce qu’on obtient dès que l’on accède habituellement à une page Web. Les textes peuvent provenir de sources Web différentes atteintes à l’aide de matériel provenant du travail, d’une association professionnelle ou de tout autre source.

Cette tendance à l’autoformation obligera les institutions d’enseignement à redéfinir leur mission première. Si Internet procure désormais la possibilité de se tenir à jour et de se former, il faudra que les écoles apportent davantage à ceux qui s’y inscrivent. Il faudra sûrement passer du mode « apprendre des connaissances » vers « apprendre à apprendre ». Il y aurait un intérêt urgent à faire des recherches à ce propos pour sauver certaines institutions d’enseignement déjà en danger. Plus loin dans mon essai, lors de l’extrapolation ciblant une génération complète d’une vingtaine d’années, je proposerai une certaine hypothèse permettant d’améliorer l’attrait des ces établissements.

La formation à distance

La formation à distance n’est pas tout à fait comme de l’autoapprentissage puisqu’il y a habituellement une aide intermédiaire faisant office de tuteur pour l’étudiant. Il y a une multitude d’établissements d’enseignement qui offre en partie ou tous ces cours à distance. Il y a aussi de nombreux organismes qui prônent et appuient les démarches visant à accroître et améliorer les cours offerts à distance. L’une d’entre elles est le REFAD, le Réseau d’enseignement francophone à distance du Canada, invite d’ailleurs les gens à se pencher sur l’avenir de la formation à distance. Le thème de leur colloque annuel 2013 portera justement sur les défis auxquels fait face la formation à distance dans ce monde de changements et sur la mise en oeuvre de solutions innovantes pour y répondre.

Non loin physiquement de la tenue de ce colloque portant sur la formation à distance, se situe aussi un village d’irréductibles croyants du Web 2.0 qui méritent d’être cités dans un tel essai. Depuis maintenant 3 ans se tient un événement de partage entre pédagogues intéressés par l’ajout d’outils informatiques et pédagogiques. On y traite de sujets touchant principalement les apprentissages reliés aux technologies en salle de classe. Cette année, Clair2013 recevra des conférenciers de renom et plusieurs d’entre eux sont des professionnels en formation à distance ou baignant aisément dans la technopédagogie.

L’éducation touche tout le monde puisque cela nous concerne en tant que citoyen. La formation à distance prend une place de plus en plus grandissante et permet à plusieurs individus d’obtenir une formation qu’ils n’auraient jamais pu atteindre autrement. Pour réussir, il faut toutefois que l’étudiant soit motivé, tout comme en salle de classe, et qu’il soit autodidacte.

La formation continue

La formation continue est une tendance en éducation et aussi l’une des neuf compétences essentielles utiles et recherchées par les employeurs selon Développement et Ressources humaines Canada. Les compétences essentielles sont neuf aptitudes requises pour permettre à l’humain de bien fonctionner autant au travail qu’à la maison. La formation continue est un concept qui est non seulement utile mais qui revête une signification à long terme. Si quelqu’un détient cette compétence essentielle, cela suppose par exemple qu’il est capable de déceler facilement un besoin personnel de formation face à une situation dans laquelle il lui manque de l’information pour exécuter une tâche quelconque. Il peut aussi lui apparaître évident que de nouvelles tendances dans son domaine sont apparus et qu’il est de sa responsabilité d’acquérir de nouvelles notions. Cela ajoute une plus-value à un employé qui se distingue ainsi par son professionnalisme et qui réagit au lieu de rester passif face au changement. Voici une petite vidéo qui présente ces compétences essentielles par la présentation de mots-clés révélateurs  et favorisant l’employabilité:

Voici l’ensemble des compétences essentielles qui sont utilisés d’ailleurs pour les gestionnaires qui élaborent de nouveaux programmes académiques:

Les quatre premières compétences sont axées sur l’alphabétisation. Selon le ministère des Ressources humaines et Développement des Compétences Canada, l’ensemble des ces neuf compétences essentielles seraient des compétences habilitantes utiles à trois niveaux:

  1. aident une personne à accomplir ses tâches professionnelles et d’autres activités quotidiennes;
  2. procurent à une personne une base pour acquérir d’autres connaissances;
  3. renforcent la capacité d’une personne à s’adapter au changement.

Dans cette optique et surtout en réaction au dernier niveau énuméré, il est peut-être bon de se questionner sur la peur du changement qu’apporte l’entrée massive des médias sociaux en éducation. Se pourrait-il que cette peur soit basée sur le manque de préparation face au changement? Se pourrait-il que certaines compétences essentielles ne soient pas suffisamment maîtrisées pour faire face au monde du travail en perpétuel changement? La peur de l’inconnu ou du manque de contrôle revête un certain inconfort chez l’être humain et j’en fais de nouveau mention plus loin dans mon essai.

Extrapolation d’ici 1 an:

D’ici 1 an, je ne crois pas qu’il y ait d’énormes vagues dans la façon dont les gens perçoivent le Web social dans le milieu éducationnel. Il y a encore des réactions négatives de la part des pédagogues, jeunes et moins jeunes. Les étudiants ne semblent pas tous près non plus à justifier l’apport des médias sociaux en salle de classe.

Les réticences semblent provenir du lien étroit que les gens entretiennent face au caractère public de ce qui est propagé via les médias sociaux. C’est notamment le plus gros frein qui empêche la propagation des bienfaits que peut apporter le Web social en éducation.

C’est aussi ce que Danah Boyd, sociologue chez Microsoft, suggère comme cause provoquant cette résistance de la part des parties impliquées. Le témoignage qui suit est un peu long mais révèle tant d’indices à propos de la véritable raison derrière la peur qu’ont les parents de voir leurs enfants côtoyer les réseaux sociaux. Les pédagogues sont tout aussi humains que les parents et ont parfois terriblement peur de l’inconnu:

“L’évaluation du risque est souvent plus terre-à-terre, mais cela permet de mettre en évidence l’hypocrisie des gens face aux processus décisionnels. En tant que scientifique qui étudie la culture des jeunes, les parents viennent régulièrement me voir pour me demander quelle est la première chose qu’ils doivent faire pour assurer la sécurité de leurs enfants. Ils veulent vraiment entendre quelque chose comme “ne pas les laisser sur Facebook” ou “ne pas leur donner un téléphone cellulaire.” Personne n’est préparé à ma réponse: “Ne les laissez pas monter dans une voiture avec vous.” Invariablement, leur visage exprime une grande confusion. Pourtant, statistiquement, les enfants courent plus de risques dans une voiture que dans tout autre contexte. Or, pour un parent, la voiture semble un espace de sécurité, notamment parce qu’ils pensent en avoir le contrôle. Alors que ce n’est pas le cas de l’internet, à la fois parce qu’ils n’en ont pas le contrôle et qu’ils ne savent pas comment les choses y fonctionnent. La peur est une question de perception. Elle n’est pas fondée sur l’évaluation des risques, mais sur la perception du risque.

Nous craignons plus les choses – et les personnes – que nous ne comprenons pas que les choses que nous faisons, même si celles-ci sont beaucoup plus risquées. Il n’est pas surprenant que les gens craignent la technologie. Sa nouveauté est source de confusion et personne n’est tout à fait certain des promesses qu’elle offre. En outre, la technologie nous permet d’accéder à des gens qui sont différents de nous, ceux-là mêmes que nous sommes susceptibles de craindre. Nous craignons l’inconnu. Et la technologie est à la fois un inconnu et un véhicule pour nous connecter à de plus grandes inconnues.

Nos craintes sont amplifiées quand elles croisent notre incapacité à être en contrôle. Et nulle part cette sensation n’est plus palpable que quand il s’agit de la volonté d’un parent de protéger son enfant. À ma grande frustration, la peur est l’émotion dominante qui tisse la relation que notre société a envers les jeunes. Nous avons peur pour eux. Et nous avons peur d’eux. Nous avons peur de tous les moyens par lesquels nos enfants pourraient être touchés. Et nous avons peur de toutes les choses que les enfants pourraient faire pour perturber le statu quo.”

Cette femme semble vraiment concernée par les répercussions sur la race humaine causées par les logiciels conçus par son employeur, Microsoft. Lors du dernier SXSW, un événement ayant lieu au Texas pour les passionnés d’informatique, Danah a effectué une conférence majeure. Elle y a d’ailleurs partagé être consciente du fait que les logiciels déployés ne peuvent que créer des effets positifs. Elle considère la technologie comme un outil puissant et souligne que Microsoft se sent responsable de la rendre la plus sécuritaire possible pour ses utilisateurs.

Extrapolation d’ici 5 ans:

J’ai l’impression que les 5 prochaines années seront remplies de découvertes épatantes, et ce, à travers les médias sociaux. De cette façon, les gens seront de plus en plus conscients des possibilités infinies que revêtent le partage collaboratif. Si les êtres humains réalisent à quel point il peut leur être utile d’accéder à tant d’informations, ils pourront ensuite être davantage prêts à laisser entrer les médias sociaux dans leurs salles de classe ou celles de leurs enfants.

Dernièrement, j’ai été témoin que mon conjoint a désormais un réflexe automatique lorsqu’il se retrouve face à une situation dans laquelle il n’a pas tous les outils pour résoudre un problème. Il se rend sur YouTube et débute une recherche avec des mots-clés pertinents. Il a d’ailleurs réparé notre laveuse en suivant chacune des étapes présentées dans cette vidéo:

J’ose imaginer la multitude d’êtres humains qui ont déjà ou qui vont prochainement avoir ce même automatisme. Que ce soit dans le cas d’un natif ou d’un immigrant numérique, si l’utilisation d’une technique s’avère efficace, la majorité d’entre eux auront tendance à s’en souvenir! Ces découvertes potentielles sont reliées autant à l’autoapprentissage qu’à la formation continue. Ces deux tendances sont interreliées et peuvent être accomplies à l’aide des sources d’informations infinies qu’offre le Web. Grâce à ces sources, la soif d’apprendre peut être sans cesse assouvie et plusieurs organismes ou particuliers offrent des occasions d’apprentissage. Par exemple, ces icônes sont présentes sur le site Web de la bibliothèque publique de ma région:

            

Elles mènent à des sites Web permettant de réparer soi-même n’importe quel sorte de voitures dont les caractéristiques sont incluses dans leur base de données. C’est quand même assez impressionnant de pouvoir accéder à un tel montant de connaissances dans un autre domaine que le sien.

Extrapolation d’ici 20 ans:

D’ici 20 ans, j’ose espérer que les faits relatés par Michael Nielsen dans The Future of Science soient désormais chose du passé. Je souhaite toutefois que la contribution collaborative entre scientifiques, attrayante selon lui, sera partie intégrante du présent.

Au lieu de viser seulement l’atteinte d’une carrière mirobolante et se démarquant des autres, les scientifiques pourraient davantage se soucier de participer aux outils collaboratifs dans leur domaine. De cette façon, une évolution plus marquée pourrait être propulsée par la rigueur d’une nouvelle communauté scientifique qui travaillerait en groupe. Nielsen relate que présentement, les postes dans les universités sont octroyés à ceux qui ont le plus d’articles fabuleux à leur nom. Les scientifiques y vont donc par priorité et s’investissent davantage à augmenter leurs publications au profit de contribuer ou commenter celles des autres.

De plus, nous avons la preuve que la contribution à un outil collaboratif est bel et bien possible avec les milliers d’articles présents sur Wikipédia. Ce n’est peut-être pas des scientifiques qui bâtissent cette immense encyclopédie mais on y retrouve une variété d’articles pertinents. J’en fais référence dans un billet traitant de l’apport, en salle de classe, de la contribution collaborative à Wikipédia. Les étudiants ayant le besoin d’acquérir des compétences en rédaction et en recherche d’informations peuvent le faire en contribuant à Wikipédia. Ils écrivent non seulement un article de leur cru mais ont la possibilité de recevoir de la rétroaction, non seulement de la part de l’enseignant mais de ses pairs aussi. L’impact ultime est tout de même frappant de par sa comparaison avec la réalité sur le marché du travail. Si un travailleur rédige un document sans se soucier de l’éventuelle possibilité qu’un autre travailleur pourra y accéder, il ne fera sûrement pas autant d’efforts.

Ce concept est loin d’être nouveau et reflète l’approche par compétences qui s’appuie sur du concret pour que l’élève apprenne de manière active et soit capable d’utiliser des ressources intellectuelles et matérielles pour résoudre un problème. C’est ce que Claude Gauvreau relate dans un article traitant des défis de l’approche par compétences:

«Le pédagogue français Célestin Freinet, qui a introduit cette approche il y a 70 ans, avait installé une imprimerie dans la cour de son école pour produire un journal rédigé par ses élèves. Pour être capables d’écrire leurs articles correctement, les élèves devaient apprendre des règles de base comme la concordance des temps et la conjugaison des verbes. Freinet avait su créer un contexte stimulant afin de faciliter l’apprentissage de l’écriture.»

J’ai récemment construit une présentation Prezi portant sur l’approche-programme, qui s’inspire fortement de l’approche par compétences. Celle-ci vise à bâtir chaque cours en tenant compte du portrait global du diplômé que l’on veut former. On veut ainsi ajouter une plus-value à chacun des cours en y ajoutant une partie des compétences que l’on désire développer chez l’étudiant, et ce, tout au long de son parcours universitaire.

C’est peut-être là une des solutions que les institutions d’enseignement devront déployer pour s’assurer la popularité de leurs programmes. Ce n’est peut-être pas la plus novatrice des hypothèses mais elle me rassure davantage que celle de penser qu’une machine enseignera aux étudiants car elle aura atteint une intelligence supérieure à celle des êtres humains! C’est sur cette approche-programme que l’école Polytechnique de Montréal a rebâti tous ces programmes. L’organigramme de ce projet d’envergure illustre bien le travail considérable requis pour y arriver:

Je conclue ce présent essai sur ces quelques mots fort révélateur que Michel Dumais a émis dans un article à propos de l’idéologie de Marc Prensky:

«Peut-on imaginer aujourd’hui une classe dont tous les élèves posséderaient un téléphone intelligent? On y arrivera un jour, selon Marc Prensky. C’est inévitable. Malgré toutes les résistances qu’elle déploie, l’école (et le monde du travail) ne pourra jamais empêcher ces changements.»

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Enseigner la contribution à Wikipédia

Ce billet est en relation avec l’article de Marc Prensky dans lequel il a dressé un véritable portrait des natifs versus les immigrants numériques. Ceux qui sont nés lorsque les technologies avaient déjà pris une grande place dans le quotidien versus ceux qui ont dus et doivent encore s’y adapter moins naturellement. Tel que Prensky le mentionne, il n’est pas si difficile d’utiliser les mêmes ressources que les natifs. D’après lui, il suffirait de transférer les notions habituellement inscrites au tableau vers une présentation PowerPoint et le tour est joué!

Dans une ère si technologique, les étudiants d’aujourd’hui réalisent qu’ils peuvent y être des acteurs et y contribuer activement. Quelle déception ce sera si on leur interdit formellement toute contribution à l’intérieur des salles de classe! Par contre, si l’on s’affaire à trouver des activités d’apprentissage qui visent l’atteinte d’objectifs précis tout en permettant l’élan de collaboration des élèves, l’intérêt a davantage de chance de se matérialiser. Wikipédia est une ressource de plus en plus pertinente en salle de classe si elle est bien sûr utilisée avec précaution tel que le conseille Prensky:

«Au lieu d’interdire Wikipédia, pourquoi ne pas adopter une nouvelle approche face à cette encyclopédie en ligne? Leur démontrer que Wikipédia n’est pas une finalité en soi, mais un point de départ. Mais surtout, pourquoi ne pas les inciter à devenir eux-mêmes des contributeurs. Ainsi, on développe leurs habiletés à la recherche et à l’écriture. Et c’est par la suite que les enseignants peuvent servir de guide afin de vérifier si le texte est bien écrit et que la recherche couvre bien le sujet. Communiquent-ils efficacement? On constate ici que pour la rédaction de ce qui semble être une simple entrée dans Wikipédia, les jeunes peuvent développer des réflexes qui s’apparentent à ceux des journalistes.»

Wikipédia est devenu une référence non officielle mais qui a tout de même un poids intéressant. Si l’on examine quelques graphiques à son propos, on peut s’imaginer à quel point il est possible d’y trouver de l’information sur une multitude de sujets.

Voici une équivalence du nombre d’articles en français, disponibles sur Wikipédia, si ceux-ci étaient imprimés et placés dans une bibliothèque:

Voici une prédiction du nombre d’articles, écrits en anglais, qui seront mis en ligne d’ici 2016:

En conclusion, quel bel outil collaboratif motivant pour les étudiants et pour quiconque ayant de l’information à rechercher et/ou partager!

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Bilan de mon initiative personnel

J’ai choisi de partager ma passion pour un outil de présentation basé sur le zooming: Prezi. D’après moi, ce petit bijou n’obtient pas autant d’attention qu’il le mérite. Soit par crainte d’une haute complexité du produit ou soit par habitude d’utiliser leurs outils habituels, plusieurs personnes hésitent à l’essayer. C’est pourtant si convivial et facile à utiliser. J’ai donc tenté de contaminer mes pairs en pédagogie ou quiconque ayant besoin de faire une présentation.

Composantes de l’initiative

J’ai choisi https://sites.google.com/site/osezprezi/ pour héberger ma page principale. Mon choix s’est arrêté à cette option car il me semblait plus efficace d’y faire adhérer Google Analytics. Ce fut effectivement très conviviale comme expérience pour relier ces deux technologies. J’en profite dans mon résumé pour relater les pours et les contres des outils que j’ai utilisés. J’ose espérer que cela pourrait peut-être bénéficier à ceux qui liraient ces lignes.

J’ai ensuite tenté d’obtenir le maximum de visites sur cette page faisant office de point de ralliement pour cette initiative Web. Pour y arriver, j’ai utilisé ma présence personnelle en ligne pour attirer un maximum d’attention. Mes deux comptes de réseaux sociaux Facebook et Twitter ont été utilisés et les activités correspondantes sont énumérées dans la section suivante.

Activités

À l’aide de Google Reader, j’ai effectué la veille des liens suivis :

J’ai été exposée à environ 2000 articles que je n’ai bien sûr pas tous lus mais qui m’ont amenés à en apprendre beaucoup sur la communauté Prezi.

Nouveaux comptes Facebook suivis :

Nouveaux comptes Twitter suivis :

  • @prezi
  • @Prezi_Edu
  • @preziNL
  • @preziuniversity
  • @PreziSchool
  • @PreziMaster
  • @PreziTanD
  • @Tips4Prezi
  • @PreziWSU
  • @SyracusePrezi
  • @prezitips
  • @prezinews
  • @prezihelp
  • @VandyPrezi
  • @PreziUK
  • @ThePrezenter

J’ai aussi tenté de partager ma passion pour Prezi avec diverses interventions :

Après la dernière intervention nommée ci-haut, j’ai immédiatement remarqué l’ajout de la Hongrie (Budapest) comme la provenance d’un nouveau visiteur. J’ose espérer que cette visite provient de l’un des fondateurs de Prezi provenant de cette ville! Voici un lien vers ma page de ralliement qui prezifie très bien la vision des 3 fondateurs : Origine de Prezi

Statistiques de fréquentation de la page centrale

Les visiteurs provenaient de 7 pays différents:

Les référants qui se sont avérés les plus importants sont les suivants :

  1. Lorsque j’ai créé ma page de ralliement, c’est-à-dire mon site web hébergé à https://sites.google.com/site/osezprezi/, je l’ai tout de suite partagé sur Google +. Après la publication officielle du site, on m’a d’ailleurs offert de le partager à mes cercles sur Google +. J’étais plutôt peu convaincue de la popularité de ce réseau car c’était bien avant que je ne découvre une certaine présentation à ce sujet. J’ai tout de même obtenu 11 visites (dont 9 visiteurs différents) en 3 jours avec ce simple partage :
  2. Le deuxième référant et celui qui a été d’ailleurs le plus percutant dans son efficacité est l’envoi d’un message privé à 59 contacts Facebook. J’avais choisi les contacts en particulier pour m’assurer un minimum d’intérêt potentiel de leur part. Ce seul message a quand même généré 35 visites (dont 29 visiteurs différents) en 3 jours :Les tendances se sont avérés plus tranquilles par la suite et j’en tire donc la conclusion que de telles interventions doivent être fréquemment entreprises pour conserver une certaine popularité. Même si j’écrivais de nouveaux articles sur ma page Web de ralliement, je n’ai pas obtenu de trafic aussi important par la suite:

Facteurs inhérents à la visibilité

Je crois que le facteur principal qui a aidé à la visibilité de mon initiative est le public que j’ai tenté d’atteindre. J’évolue dans un milieu composé d’enseignants et de professionnels qui pourraient avoir besoin d’utiliser un tel outil éventuellement. J’ai donc privilégié l’envoi de messages à ces contacts en particulier.

Nuisance à la visibilité de mon initiative : la crainte que j’ai ressentie à vouloir obliger les gens à considérer Prezi comme un objet social digne d’intérêt. Je n’ai jamais douté du contraire mais je ne suis pas pour le marketing viral extrême (tel que la découverte du marketing entourant les vélos Bixi) et j’ai craint que mon initiative soit en quelque sorte perçue dans cette catégorie. Je me sentais donc un peu réticente malgré que je réalisais cette ‘publicité’ non pas dans un but lucratif mais plutôt dans un but expérientiel…

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L’information veut être libre et naviguer d’un cerveau à l’autre!

Le titre de ce billet est inspiré de ce que les programmeurs (ou hackers selon Castells) ont propagé comme idéologie lors de leur participation à la troisième de six cultures d’Internet répertoriés dans un certain article très intéressant. Leur idéologie repose sur l’importance de la liberté:

Leur valeur fondamentale est et reste la liberté. La liberté de créer, la liberté de s’approprier toute connaissance, de la remixer, de la diffuser sous toute forme et par tous les canaux. C’est la mouvance des logiciels libres. C’est aussi la coopération, ce qui est aujourd’hui appelé le « crowd sourcing« . Ce sont eux qui réclament : « information wants to be free« . Une phrase qui pourrait à certain égard représenter l’image de marque d’Internet.

L’éthique du hacker ne devrait d’ailleurs surtout pas être considéré comme étant orientée vers la destruction de systèmes informatiques. Le hacker est plutôt un « bricoleur d’idées », qui cherche à résoudre des problèmes efficacement. Il est prêt à aider les autres mais à certaines conditions énumérées dans cet article traitant des étapes préalables avant de le consulter.

Le hacker veut davantage partager ses connaissances afin de faire avancer la collectivité. Il croit en la liberté des logiciels et de toute information susceptible de trouver un esprit assez ouvert et proactif pour la mettre en application. L’une de ses motivations est non seulement de fournir une aide aux autres mais aussi d’aller assouvir une soif insatiable d’apprentissage et d’exploration. Tout un spécimen avide de connaissances, ce hacker!

Le hacker considère d’autant plus significatives les actions posées au cours de sa vie que d’autres facteurs tels que son niveau d’éducation, son niveau hiérarchique au travail, etc. L’expérience s’avère un incontournable qui permet de faire acquérir ce qu’il y a de plus précieux: apprendre en le faisant. Peter Norvig, directeur de recherche chez Google, a appliqué une théorie cognitive au contexte de la programmation dans cet article pertinent. Celui-ci démystifie très bien comment il croit qu’un programmeur doit être façonné avant d’atteindre un niveau expert. Un « sandbox » peut être très utile pour s’entraîner à ne pas faire d’erreurs… plus tard… en temps réel!

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Culture participative du Web

Selon Royal Pingdom, la population mondiale des internautes est passée de 1,15 à 2,27 milliards entre 2007 et 2012. Comme le mentionne un certain article de ZDNet.fr, cela a en quelque sorte doublé le nombre d’internautes en 5 ans. Ce qui est aussi intéressant à souligner est que de ces utilisateurs, la moitié (53,8%) proviennent de l’Asie.

Le nombre d’utilisateurs d’Internet ainsi répertoriés est phénoménale. Ce qui est encore plus impressionnant est la culture participative de ces utilisateurs du Web. Malgré ce nombre grandissant d’utilisateurs, ce n’est qu’un léger pourcentage de ceux-ci qui participent activement à la croissance du Web.

La règle du 1% est très bien expliqué dans un article cité en référence dans le module 7 du cours INF6107. En voici un bref aperçu grâce à deux figures triangulaires très révélatrices:

Cette première figure indique que seulement 1% participe activement, 10% participent occasionnellement et que 90% ne sont que des observateurs.

En effectuant une analyse plus poussée, on constate que ce sont les plus actifs (1%) qui construisent 90% du contenu propagé sur le Web! Le 10% restant est élaboré par les internautes qui participent occasionnellement (10%).

La culture de participation est donc constituée de 2 approches, soit la participative et la passive. Celles-ci peuvent être adoptées par la même personne, selon la situation dans laquelle elle se trouve.

Afin que le Web participatif s’approprie toute la portée positive qu’il peut rayonner, il faudra trouver une façon de motiver les 90% d’observateurs à prendre plaisir à s’impliquer davantage…

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La e-réputation

Il est dangereux de nos jours de ne pas se tenir à jour sur notre e-réputation. Il peut s’avérer catastrophique de ne pas se soucier de l’image qui circule de nous, sur Internet. Tout ce que nous laissons comme trace sur le Web appartient maintenant à quiconque détenant une connexion Internet. Il est parfois aussi très difficile de tenter d’effacer ce qui a déjà été propagé sur le Web. Cela peut engendrer une e-réputation néfaste à l’obtention potentielle d’un emploi intéressant ou tout simplement abîmer une réputation réelle.

La sensibilisation doit débuter dès un très jeune âge car l’accès à Internet est désormais monnaie courante. Quelque soit l’âge, l’ethnie ou la culture de la personne, un accès virtuel au monde entier est maintenant rendue très facile. Si le seul usage du Web effectué ne l’est que pour y réaliser des actions malveillantes ou insouciantes, il est fort possible que l’image projetée ne soit pas très positive.

Il est malheureux de constater qu’une majorité de jeunes… et moins jeunes conçoivent le Web comme une ‘confesse moderne’. Pourquoi se servir des médias sociaux comme d’un bureau de psychologue afin d’y exprimer ses hauts et ses bas? Pourquoi laver leur linge sale devant un auditoire  devant ils n’oseraient même pas s’entretenir de la même façon en personne? Je crois que ces actions sont posées pour une multitude de raisons mais en particulier pour assouvir un besoin primaire, soit celui de communiquer… dommage toutefois que la communication s’effectue à tout le monde et à personne simultanément…

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Un outil de présentation basée sur le « zooming »

Je ne pourrai trouver mon blogue sur les réseaux sociaux complet sans lui ajouter un billet sur Prezi, un logiciel de présentation basée sur le « zooming ». Dans les prochaines semaines, j’écrirai au autre billet qui traitera de l’ensemble de l’initiative Web que je suis en train de réaliser pour promouvoir cet outil fantastique. Pour ce faire, j’ai notamment créer un site Web pour offrir des petits défis à relever pour apprivoiser ce logiciel. L’objectif de ce présent billet est de vous présenter le logiciel en tant que tel et ensuite de vous partager 5 de ses nouvelles mises à jour que nous souligne l’auteur d’un autre blogue nommé edudemic.

Prezi est un outil du Web social qui permet de partager ses présentations au monde entier et de recréer du contenu à partir d’autres présentations.

Ce qui rend aussi cet outil très collaboratif est le fait que l’on peut co-construire une présentation, en équipe, sur des ordinateurs différents. Nous voyons en temps réel quel autre collaborateur est en ligne et visualiser les actions qu’il effectue.

Prezi a bel et bien plusieurs compétiteurs de taille sur le Web tels que: Prezentit, slidesix, VUVOX et de nombreux autres. J’ai d’ailleurs débuté l’analyse d’un autre logiciel en ligne pour créer des présentations nommé sliderocket.

Voici les 5 nouvelles mises à jour de ce logiciel selon Katie Lepi:

  1. Les arrières-plans 3D: il est maintenant possible d’ajouter des effets en trois dimensions. En comparaison avec l’ancienne interface, l’arrière-plan ne semble plus être attaché de façon statique au contenu zoomé. De très beaux exemples sont accessibles ici pour s’inspirer et même les personnaliser avec notre contenu.
  2. L’ajout d’animations pour faire apparaître les éléments de façon progressive.
  3. La possibilité de cacher temporairement votre présentation afin d’obtenir l’entière attention de vos spectateurs! Il suffit de cliquer sur la touche B de votre clavier.
  4. Si vous manquer de temps pour créer vos propres prezis, vous pouvez engager des professionnels pour y arriver. C’est le rôle des « Prezi Experts« .
  5. Il est aussi possible pour les étudiants universitaires de faire rayonner ce nouvel outil en échange de nombreux bénéfices. C’est le rôle des « Prezi Ambassadors« .

Des heures de plaisir à explorer les anciennes et les nouvelles fonctionnalités… qui sont aussi accessibles via iPad!

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